Peu après Nico Rosberg prend le dessus sur Jenson Button pour le gain de la quatrième place[44],[45],[46]. La FIA confirme alors que le calendrier comprendra dix-neuf Grands Prix, un de moins qu'en 2012 puisque le Grand Prix automobile d'Europe, disputé dans les rues de Valence, n'est pas organisé. Pérez, Max Chilton, Hamilton, Daniel Ricciardo, Van der Garde, Webber, Grosjean, Charles Pic, Hülkenberg, Rosberg, Button, Vettel, Alonso, Jean-Éric Vergne, Massa, Gutiérrez, di Resta, Bottas, Maldonado et Sutil stoppent entre le septième et le vingt-deuxième tour. Charles Leclerc a décroché son premier succès, moins d'une seconde devant Lewis Hamilton (vidéos). Alonso et Webber changent leurs pneus au dixième tour, Räikkönen, Ricciardo et Button au suivant, Rosberg, Sutil et Hülkenberg au douzième, Vettel et Pérez, au treizième lorsque, quelques instants plus tard, Jean-Éric Vergne est à son tour victime d'une crevaison avec déchapage instantané de son pneu arrière gauche. À l'extinction des feux, Nico Rosberg, en pole position, est contraint de défendre sa position face à Sebastian Vettel en se rabattant vers le muret des stands : cette brèche est exploitée par Fernando Alonso qui passe Vettel. Suivent pour les points, Massa, Hamilton, Webber, Sutil, di Resta, Button et Grosjean[41],[42],[43]. Pendant ce temps, Kimi Räikkönen, en délicatesse avec ses freins depuis le début du Grand Prix, est victime d’une défaillance d'un frein avant au freinage de la dernière chicane en tentant un dépassement sur Massa. Webber renonce quand ses pneus arrière ne lui permettent plus de lutter. Dans le huitième tour, Charles Pic abandonne sa Caterham CT03, en feu, dans le virage de la Rascasse alors que Paul di Resta, pariant sur une intervention de la voiture de sécurité, s'engouffre dans la voie des stands et est le premier à effectuer un changement de pneumatiques. Sans surprise, Fernando Alonso, Lewis Hamilton, Jenson Button et Sebastian Vettel sont les mieux payés du paddock.… Rosberg, Alonso, Webber, Vettel, Räikkönen, Bottas, Giedo Van der Garde, Jules Bianchi, Button, Pérez et Grosjean s'arrêtent tous entre le douzième et le vingt-deuxième tour. Kimi Räikkönen en lutte avec Daniel Ricciardo pour le gain de la septième place, le passe dans le troisième tour. Au championnat du monde des constructeurs, Ferrari possède 30 points et devance Lotus F1 Team (26 points) et Red Bull Racing (23 points) ; suivent Force India et Mercedes (10 points) et McLaren (2 points). Wähle eines der 40 Fächer sowie Hochschultyp und Abschlussart aus. Paul di Resta, treizième, part en glissade et percute le muret, ce qui provoque son abandon. Retrouvez en un clic les résultats et classements 2020 des pilotes, équipes et constructeurs … Sans ralentir, il dépasse le Français, ce qui provoque une enquête des commissaires (il n'est finalement pas sanctionné pour ce dépassement hors des limites de la piste). D. Ricciardo Renault. Au premier passage sur la ligne de chronométrage, Vettel devance Massa, Rosberg, Hamilton, Nico Hülkenberg, Kimi Räikkönen, Webber, Sergio Pérez, Daniel Ricciardo, Alonso, Adrian Sutil, Pastor Maldonado et Jenson Button ; Romain Grosjean, qui s’élançait de la dix-septième place est seizième. Jean-Éric Vergne et Giedo Van der Garde changent les premiers leurs pneumatiques dans ce même tour. Hamilton, Maldonado et di Resta s'arrêtent au tour suivant et Hamilton ressort huitième, chaussé de pneus durs. Räikkönen préserve sa deuxième place après une belle résistance face à Sebastian Vettel, troisième ; suivent pour les points Webber, Alonso, Grosjean (pénalisé de 20 secondes pour son dépassement sur Button), Button, Massa, Pérez et Maldonado qui obtient son premier point de l'année[69],[70],[71]. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 352 points et devance Ferrari (248 points) qui est repassé devant Mercedes (245 points) ; suivent Lotus F1 Team (191 points), McLaren (66 points), Force India (61 points), Toro Rosso (31 points), Sauber (17 points) et Williams (1 point). Lorsque Webber est revenu en fin de peloton après avoir rattrapé son tour de retard, la voiture de sécurité s'efface à l'entame du trentième tour. Fernando Alonso, qui avait coupé une chicane pour se défendre avant l'interruption, cède sa position à Sergio Pérez pour éviter une sanction des commissaires de course, puis se lance aussitôt à l'assaut de son rival immédiat. Hamilton ressort des stands derrière Grosjean et perd un temps important. Mark Webber termine le championnat troisième avec 199 points, juste devant Lewis Hamilton (189 points). Massa ressort des stands dans le sillage d'Hamilton et devant Hülkenberg. L'Australien chausse à nouveau les mêmes gommes : il devra donc encore s'arrêter avant la fin de la course[69],[70],[71]. Tous les pilotes s'élancent en pneus tendres à l'exception de Daniel Ricciardo et Charles Pic. En Formule 1, la seule fois où on vous voit sans casque c'est sur le podium, si vous êtes dans un bon jour. Le Mexicain rentre aux stands au ralenti, pneu avant droit complètement détruit, tandis que la voiture de sécurité entre en piste dans le trente-deuxième tour pour permettre aux commissaires de piste de récupérer la bande de roulement de la McLaren qui git en pleine piste. C'était un geste important. 3. Grosjean et Hamilton, en pneus neufs, se livrent un duel acharné et le Français parvient à contenir le Britannique. Alonso poursuit sa remontée au classement en dépassant Hamilton puis di Resta et réalise même le meilleur tour en course. Auteur du meilleur tour au vingt-troisième passage, Webber se rapproche de plus en plus de Grosjean et, au tour suivant, peut utiliser son aileron arrière mobile puisqu'il n'est plus qu'à huit dixièmes de seconde[91],[92],[93]. Une consigne d'écurie intime aux pilotes de conserver leurs positions afin d'assurer un doublé. Jean-Éric Vergne change ses pneus au quarantième tour ; Webber, Sutil, Rosberg, Maldonado, Chilton, di Resta, Massa, Bottas et Van Der Garde entre le quarante-et-unième et le quarante-troisième, Hamilton et Vettel stoppant au suivant. Les arrêts aux stands commencent au tour suivant où Paul di Resta, Jean-Éric Vergne et Charles Pic chaussent leurs pneus durs. [...] C'est bon de finir sa carrière entre les deux meilleurs pilotes de cette génération que je tiens en très haute estime. XX Programmes. Le contenu classique propose également deux circuits historiques : le circuit de Brands Hatch et le Circuito de Jerez. Sur la grille, les huit premiers pilotes sont en pneus tendres alors que Sergio Pérez et Mark Webber, en cinquième ligne, choisissent de s'élancer en pneus durs (la différence au tour entre les deux mélanges est estimé à une seconde et demie). Sebastian Vettel remporte sa première victoire au Canada devant Fernando Alonso et Lewis Hamilton qui l'accompagnent sur le podium ; suivent pour les points Webber et Rosberg (le dernier pilote dans le même tour que le vainqueur), Vergne, di Resta, Räikkönen, Massa et Sutil[60],[61],[62]. Au tour suivant, Hamilton effectue son deuxième arrêt et laisse sa position à Alonso. Au premier passage sur la ligne de chronométrage, Rosberg devance Vettel, Alonso, Hamilton, Kimi Räikkönen, Sergio Pérez et Felipe Massa[53],[54],[55]. Si Alonso a Hamilton en vue dans les lignes droites, l'écart entre les deux est d'un peu plus de trois secondes[72],[73],[74]. Vingt-et-un pilotes s'alignent sur la grille de départ car la Sauber de Nico Hülkenberg a un problème d'arrivée d'essence. Charles Pic procède à son arrêt au trente-septième tour et Vettel, sur une stratégie décalée, attend jusqu'au trente-huitième tour pour passer les pneus durs avec lesquels il finira la course ; ses pneus sont dès lors plus frais de huit tours que ceux de Grosjean. Button, Bottas et Sutil changent les premiers leurs pneus dans le neuvième tour ; Gutiérrez et Maldonado rentrent au suivant ; Hülkenberg di Resta, Webber, Massa, Räikkönen, Grosjean, Rosberg, Pérez, Alonso et Vettel entre le onzième et le quinzième tour. Hülkenberg et Vergne changent leurs pneus au vingt-quatrième tour, Rosberg et di Resta au suivant, Hamilton, Massa, Sutil au vingt-sixième, Alonso, Gutiérrez, Bottas au vingt-huitième, Webber, Bianchi au suivant, Vettel, Van der Garde au trentième, Ricciardo au trente-troisième et Button au suivant[72],[73],[74]. La fin de course est une véritable épreuve pour Jenson Button, victime de ses pneumatiques : il chute de la troisième à la huitième place ; son équipier Pérez est victime du même mal, ainsi qu'Hülkenberg et Gutiérrez. L'Allemand reçoit de son stand l'information selon laquelle Hamilton est sur une « stratégie différente » mais ne s'efface pas pour autant et garde Hamilton derrière lui, ne respectant pas une consigne d'équipe camouflée. Il se lance aussitôt à la poursuite de Räikkönen. This top 500 ranking goes back to the start of Formula 1 in 1950. Hamilton doit désormais surveiller Hülkenberg revenu à quatre secondes. À la sortie du raidillon de l'Eau Rouge, à Kemmel, juste avant Combes, Vettel prend l'avantage sur Hamilton pour le gain de la première place. 10-12 • September • 2021. Vettel possède 2 secondes davance sur le duo en lutte et Ricciardo est quatrième mais doit encore s'arrêter. Webber occupe la onzième position car il a dû s'arrêter, victime d'une crevaison lente[84],[85],[86]. Le Finlandais rentre alors au quarante-cinquième pour son troisième arrêt alors que ses adversaires ont appliqué une stratégie à quatre arrêts. Nico Rosberg s'élance parfaitement et semble en mesure de porter une attaque sur Vettel et Grosjean. Webber s'arrête à dix tours du but pour chausser ses gommes tendres et ressort quatrième, derrière son coéquipier Vettel qui attaque Räikkönen[69],[70],[71]. Webber peut toutefois poursuivre sa course, désormais talonné par Alonso qui profite de l'incident pour réduire l'écart du son rival, tandis que Van der Garde est pénalisé[60],[61],[62]. Fernando Alonso attaque dans tous les secteurs du circuit et revient sur la deuxième place de Lewis Hamilton. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 201 points et devance Ferrari (145 points) et Mercedes (134 points) ; suivent Lotus F1 Team (114 points), Force India (51 points), McLaren (37 points), Toro Rosso (20 points) et Sauber (5 points). Un tournant dont profite Red Bull, beaucoup d'écuries, à commencer par Ferrari et Mercedes, n'exploitant plus aussi bien leurs voitures dans ces nouvelles conditions. Räikkönen dépasse son coéquipier Grosjean de façon autoritaire et pointe désormais en deuxième position. Di Resta et Sutil ont désormais un tour de retard sur les leaders (Paul di Resta abandonne finalement au vingt-troisième tour). Découvrez le classement 2013 des salaires des pilotes de F1. Les deux Français, dont c'est la troisième réprimande depuis le début de l'année, sont donc pénalisés d'un recul de dix places sur la grille de départ du Grand Prix du Japon[88],[89],[90]. Tous les textes présents sur le site StatsF1 sont la propriété exclusive de leurs auteurs. Hülkenberg rentre pour passer des gommes tendres au trentième tour, Vettel rentre au tour suivant pour chausser de nouveaux pneus durs et devra donc s'arrêter une fois pour passer des gommes tendres. À trois tours du but, Ricciardo abandonne alors qu'il était neuvième (son coéquipier Vergne fait de même au tour suivant). Red Bull. Grosjean est désormais septième, à égalité de points (102 points) avec Massa. Hamilton, Alonso et Charles Pic stoppent au dixième tour ; Grosjean, Rosberg, Hülkenberg et Jules Bianchi au suivant. Grosjean et Paul di Resta rentrent alors changer leurs pneus au tour suivant alors que Felipe Massa est victime lui aussi d'une crevaison à l'arrière gauche qui l'envoie hors-piste en tête-à-queue, au même endroit qu'Hamilton. Jenson Button se plaint que son coéquipier Pérez ferme la porte chaque fois qu'il se porte à sa hauteur : les deux pilotes ont failli s'accrocher à deux reprises dans les premiers tours de course. Rosberg s'arrête pour la quatrième fois au quarante-quatrième tour et Button deux tours plus tard. Dans le quarante-deuxième tour, Vettel abandonne à cause d'un blocage de sa boîte de vitesses ; il immobilise sa monoplace dans la ligne droite des stands et la voiture de sécurité prend immédiatement la piste pour permettre aux commissaires de la dégager. Au dix-septième passage Vettel devance son coéquipier Webber, Rosberg, Button, Grosjean, Pérez, di Resta, Hamilton, Hülkenberg, Räikkönen, Maldonado et Alonso. Sautez dans l'action. Red Bull Racing, avec 513 points, devance Mercedes (334 points) et Ferrari (323 points) ; suivent Lotus (297 points), McLaren (95 points), Force India (77 points), Sauber (45 points), Toro Rosso (32 points) et Williams (1 point). Alonso, désormais en tête, rentre au tour suivant, imité par Räikkönen ; Massa et Grosjean rentrent au septième tour. Vettel choisit néanmoins de l'outrepasser et attaque Webber qui résiste pendant plusieurs virages avant de céder le commandement à son coéquipier[44],[45],[46]. Vettel compte désormais 397 points et devance Fernando Alonso (242 points).