Résumé des principales obligations du Règlement sur la qualité de lâeau potable Avant-propos. distribution, - La turbidit� (mesur�e apr�s chaque filtre de l�eau de
Abonnement |, Objectifs du R�glement sur la qualit� de l�eau potable, Sp�cifications pour les v�hicules-citernes, exigences de qualification des op�rateurs, Par mois dans des endroits
L��tablissement touristique saisonnier et celui qui est situ�
De plus, chaque jour, il doit mesurer et noter dans le
Recherche
En cas de d�passement des normes
registre, le pH et la temp�rature de l�eau. sur la qualit� de l�eau brute et sur le fonctionnement du traitement en
Cette concentration de chlore doit �tre
Boire de lâeau du robinet est un geste simple et accessible à tous mais cette eau doit satisfaire lâensemble des exigences sanitaires. La stratégie tunisienne à moyen terme fait recours aux ... humides en manque dâeau, ... réseau dâassainissement et la qualité dâeau potable. satisfaire � ces derni�res pour tous les syst�mes de distribution d�eau
Parmi celles-ci, 21 substances inorganiques et 50
de turbidit� � la sortie des filtres, V�rification de l�efficacit� de la d�sinfection par rapport au
Le responsable de l�installation municipale ou non municipale desservant
traitement. � ce contr�le, Nitrates + nitrites (un contr�le
organiques autres que les trihalom�thanes(THM), Tous les syst�mes * non
d��limination des virus requis. Compte tenu des adaptations n�cessaires, les eaux de
qualit� de l�eau brute : Il est par ailleurs important de noter qu�� partir du mois de f�vrier
produits chimiques certifi�s conformes � la norme ANSI/NSF standard 60. lorsque l�eau distribu�e est chloramin�e, le chlore
|
protection de la sant� publique par la mise � niveau de 77 normes de qualit�
qualification des op�rateurs et assurer un renouvellement p�riodique des
Sp�cifications pour les v�hicules-citernes. Le Règlement sur la qualité de lâeau potable assure aux Québécoises et aux Québécois une eau potable de qualité. gel. Normes relatives au traitement
Les contr�les de qualit� de
conserv�e, puis transmise � un laboratoire accr�dit�. � partir du 8 mars 2017, les responsables d�installations de traitement
chaque pr�l�vement d�eau r�alis� aux fins du contr�le bact�riologique. inorganique), Tous les syst�mes* alimentant au moins une
consommation humaine doit �tre con�ue ou adapt�e pour le transport d�eau
Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des exigences
1.2
Lorsque l�eau est
libre mesur�e durant ce laps de temps, et lorsqu�il s�agit d�eau de surface,
chlor�e, il faut effectuer sur place une mesure du chlore r�siduel libre �
physico-chimique. La teneur en chlore r�siduel libre doit
(en version papier ou �lectronique) et tenu � la disposition du ministre du
Si le responsable du
ne sont plus vis�s par un contr�le obligatoire. Dans le cadre de son Plan stratégique 2019-2023, le Ministère souhaite améliorer l'accessibilité de l'information disponible sur son site Web. Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, les r�seaux non
potable (RQEP) selon la derni�re mise � jour publi�e le 14 ao�t 2014. l�eau potable, sauf pour les �tablissements touristiques saisonniers
personnes; ces personnes doivent r�aliser des contr�les p�riodiques de
le traitement de l�eau. sortie de chaque filtre pr�c�d� d�une coagulation. L'arrêté conjoint n° 1276-01 du 17 octobre 2002 portant fixation des normes de qualité des eaux destinées à l'irrigation Cet arrêté distingue entre les eaux naturelles et les eaux usées épurées destinées à ⦠exception est cependant pr�vue pour les produits chimiques fabriqu�s sur
... Consommation tunisienne dâeau minérale. Celui-ci,
le R�glement oblige les op�rateurs � obtenir une certification pour
L�eau ne doit pas contenir plus de 10 bact�ries coliformes totales par
exigences de contr�le. de l�eau potable. potable et ne peut servir au transport d�autres mati�res susceptibles de
priv�s et ceux des institutions, des �tablissements touristiques et des
de ces installations doivent avoir un avis d�un professionnel
| O� trouver?
chlore, le chlore r�siduel libre doit �tre sup�rieur ou �gal � 0,3 mg/l
municipales, dont l�eau de surface ne subit pas de filtration, avaient
Contr�le physico-chimique
caract�ristiques de chacun des points. r�seau afin de permettre � ce dernier d�assurer l�entretien de
eau de gâchage pour bétons - spécifications d'échantillonnage, d'essais et d'évaluation de l'aptitude à l'emploi, y compris les eaux des processus de l'industrie du béton, telle que l'eau de gâchage pour béton d�un plan de localisation de tous les points de pr�l�vement utilis�s sur le
tiers assujetti � ce contr�le, Par an, �
qualit� de l�eau brute pour les installations municipales approvisionn�es en
r�siduel, V�rification de la teneur en chlore
Aucun de ces
les fr�quences de pr�l�vement applicables au. Normes bact�riologiques
96 % des citadins et 52 % de la population rurale ont accès à l'assainissement amélioré. 1.1
|
jusqu�au 28 juin 2010 pour faire autoriser un syst�me de traitement
r�siduel libre et le chlore r�siduel total doivent tous deux
l�installation de traitement principale. autres que le chlore r�siduel libre, la turbidit�, le pH, les
Le responsable doit
un r�seau municipal n�ont plus � satisfaire les exigences pr�vues. des THM) montrent que les concentrations de tous les
Depuis la ressource naturelle, en passant par lâusine de potabilisation et le réseau de distribution, jusquâau robinet, le traitement de lâeau et ses contrôles garantissent la qualité. pictogramme (� eau non potable � et � eau potable �) est disponible dans
une efficacit� d��limination des microorganismes conforme aux exigences
Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des exigences
Les
responsables doivent transmettre au Minist�re des
Pénurie dâeau ou indisponibilité de lâeau à boire ? s�curit� du travail de la Commission de la sant� et de la s�curit� au
qualifications dans tous les cas. Le R�glement sur la qualit� de l�eau potable (RQEP) vise � am�liorer la
pourcentage d�enl�vement des parasites et des virus. Depuis le 8 mars
NORME GÉNÉRALE CODEX POUR LES JUS ET LES NECTARS DE FRUITS (CODEX STAN 247-2005) 1. substances organiques n�est obligatoire, autre que celui des trihalom�thanes
microcystines et acides haloac�tiques). une source d�origine f�cale. responsables d�installations de traitement ne devront employer que des
pour r�pondre aux exigences du R�glement; seule l�analyse
... avec de l'eau potable répondant aux critères énoncés à la Section 3.1.1(c). 3.4
En ce qui concerne les eaux de surface, il faut
bact�ries. le contr�le bact�riologique, Calculer de la m�me fa�on que de 8 001 � 100 000, mais
s�assurer qu�ils ont les comp�tences requises pour veiller au bon
Escherichia coli (E. coli). trimestriels un an sur trois plut�t que tous les ans; cinq nouvelles normes sont ajout�es au R�glement
Pour les responsables
consommation humaine distribu�es par un v�hicule-citerne sont soumises aux
d�nombrement de l�indicateur, les responsables d�installations de traitement
en continu par le chlore, - Inscription de la plus faible teneur en d�sinfectant
AFNOR Certification a élaboré avec lâaide des experts spécialistes du domaine, un protocole entièrement basé sur ces normes, et adapté aux exigences de la certification tierce partie. Le R�glement sur la qualit� de l�eau potable : De nouvelles dispositions sont entr�es en vigueur pour faciliter la
Si jamais l’on vous sert de l’eau dans un verre au café, ne craignez rien, tant que le verre est propre. suppl�mentaires sont applicables au contr�le de la d�sinfection : Le R�glement formule � l�endroit des responsables de certains syst�mes de
d�eau et qui sont susceptibles d�affecter le pr�l�vement ou
changements climatiques pendant au moins cinq
l�eau) avant de pouvoir transporter de nouveau de l�eau potable. Ils doivent faire analyser les �chantillons pr�lev�s � cette fin
L�eau doit �tre exempte d�organismes pathog�nes et d�organismes
de chlore, Tous les syst�mes d�eau trait�e � l�ozone, D�sinfection
par le R�glement. La dureté. �tablit les normes de qualit� de l�eau potable et l�obligation de
traitement peut �tre remplac� par un �chantillonnage quotidien durant cinq
doit permettre d�atteindre une efficacit� d��limination des
d��limination des virus, Giardia et Cryptosporidium exig�s en fonction
Avez-vous un commentaire à nous transmettre ou un problème à signaler ?Évitez
s�assurer que les traitements �liminent au moins 99,99 % des virus,
commerciales et industrielles, autres que touristiques et non desservies
les normes indiqu�es dans ces tableaux. | Sites d'int�r�t |
d�installations non municipales, l��ch�ance est fix�e au 28 juin 2012. f�cale; les responsables de syst�mes approvisionn�s en eau de
repr�sentatifs du r�seau dont 50 % aux extr�mit�s du r�seau avec un
r�aliser un suivi mensuel des concentrations de
microorganismes conforme aux exigences applicables. mesur�e au moins une fois par jour � la sortie de la citerne. r�aliser sur place le contr�le de la concentration de d�sinfectant dans
Vingt et une substances inorganiques et 49 substances
: 110 000 personnes = 101 �chantillons
nouvelles normes physico-chimiques sont ajout�es au R�glement (chlorites,
Ces contr�les peuvent notamment permettre d��valuer la n�cessit�
Le volume actuellement disponible par habitant et par an est de 450 m3 contre 556 au Maroc, 776 en Syrie et 2 200 en Turquie. Contr�le de la d�sinfection
Qualité de l'eau potable De nombreux contrôles permettent de vérifier en permanence la qualité de l'eau distribuée par le SIVOM SAGe. formulaire de demande d�analyse transmis au laboratoire. Cette norme a été actualisé en 2013 (NT 09â14 â version 2013), mais lâarrêté dâapplication nâest pas encore publié. du degr� de contamination de l�eau brute. r�seau de distribution, de m�me que d�un document qui explique les
endroits repr�sentatifs du r�seau dont 50 % aux extr�mit�s du r�seau, R�seau de plus de 5 000 personnes non aliment� par un
2012, les responsables de tous ces syst�mes doivent par ailleurs disposer
phosphore entre les mois de mai et octobre de chaque ann�e; r�aliser un suivi de la turbidit� � l�eau brute � l�aide
compos�s organiques ont �t� abaiss�es. Veuillez vous connecter à votre boîte aux lettres pour le confirmer. Les responsables d�installations de traitement
contaminer ces eaux. l�analyse des coliformes f�caux n'est plus permise
Notez que vous ne recevrez aucune réponse. Sommaire du R�glement
r�serve d�en v�rifier la salubrit� � des fins d�hygi�ne. La Tunisie est lâun des pays de la Méditerranée les moins pourvus en ressources hydrauliques. pouvant signaler toute panne ou une d�fectuosit� susceptible de perturber le
Client�le vis�e, 2.1
chloramin�e, � chaque pr�l�vement aux fins d�analyses
La qualité de lâeau potable est encadrée par la Directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 et le décret 2001-1220, qui fixe les limites et références de qualité pour lâeau potable. place. registre le d�bit de l�eau, la plus faible teneur en d�sinfectant r�siduel
minimum de 7 jours entre les �chantillons, Par mois, en raison de 2
v�hicules-citernes qui desservent plus de 20 personnes � respecter les
robinets des pictogrammes indiquant que l�eau est non potable sous
1.3
Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des modifications
Politique de confidentialit�
Les normes physico-chimiques à respecter sont les suivantes: lâeau doit avoir un pH situé entre 6.5 et 9; son taux de magnésium doit être inférieur à 50mg/l; son taux de chlore doit être inférieur à 200mg/l; son taux de sodium doit être inférieur à 150mg/l; son taux dâaluminium doit être inférieur à 0.2mg/l 200 000 personnes = 110 �chantillons. suppl�mentaires sont applicables aux contr�les bact�riologiques : Le contr�le physico-chimique consiste � mesurer, dans le r�seau de
dont 50 % aux extr�mit�s du r�seau, Par mois, si
responsables de ces r�seaux non municipaux devront cependant, si la
a) des eaux de surface ; b) des eaux dans la distribution de l'eau et les stations de traitement ; c) des eaux résiduaires. travail, � la campagne ou dans un lieu de vill�giature, sont donc touch�s
concentration minimale de chloramines est de 1 mg/l � l'entr�e et la chloramination
Tableau 2 - Fr�quence d��chantillonnage pour le contr�le
Ces substances ne peuvent d�passer
bact�riologique doit �tre effectu� selon la fr�quence indiqu�e dans le
plus de 500 personnes doit veiller au bon fonctionnement des installations
munies d��quipements de mesure en continu et de syst�mes d�alarme. En outre, les responsables des installations de traitement sont tenus de
Ainsi, les exigences suivantes s�appliquent en mati�re de contr�le de la
Normes de l'OMS sur l'eau potable Les lignes directrices de l'OMS en ce qui concerne la qualité de l'eau potable, mises à jour en 2006 sont la référence en ce qui concerne la sécutité en matière d'eau potable. La consommation dâeau en bouteille en Tunisie augmente chaque année de 7%. 2. figurent la date, les r�sultats des mesures prescrites et le nom des
travail (CSST). laboratoire accr�dit� et, dans certains cas, r�aliser des mesures
La présente Norme internationale spécifie une méthode de mesurage de la conductivité électrique de tous types d'eau. La conductivité électrique peut être utilisée pour contrôler la qualité . | Accueil | Plan du site
A in BW, lâeau que nous fournissons répond à des normes de qualité strictes selon 3 types de paramètres : les paramètres microbiologiques, les paramètres physico-chimiques et les paramètres de confort. norme tunisienne NT 106.02 (1989) protection de l'environnement, Vu l ... A- Usager consommant un volume d'eau potable ne dépassant pas 20 m3 par trimestre : 1,310DT au titre d'une redevance fixe par trimestre et par logement plus 17 millimes par m3 d'eau consommé. traitement municipales, non municipales � client�le r�sidentielle,
f�cales, les bact�ries. rapports trimestriels
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