Il peut également convoquer un « Comité des privilèges » à la demande du Sénat et après consultation du Conseil d'État. Du côté nord de la frontière en revanche, on reconnait lautorité de la Reine. Elle a d'ailleurs reçu le Prix humanitaire CARE en reconnaissance de ses efforts pour ce pays. Les ministres sont congédiés sur le conseil du Taoiseach et celui-ci doit démissionner après avoir perdu la confiance de l'Assemblée, à moins qu'il n'y ait une dissolution. Ainsi, le président Hillery (1976-90) déclina l'invitation de la reine Élisabeth au mariage du prince Charles et de Lady Diana Spencer en 1981, sur les conseils du gouvernement. En fait, l'Irlande du Nord comprend les comtés à majorité protestante tandis que la République d'Irlande au sud est à majorité catholique. Le président Seán T. O'Kelly déclina également l'invitation à assister à la Garden Party du couronnement à l'ambassade de Grande-Bretagne, en 1953. L'autre chambre est alors chargée d'étudier les charges portées contre le Président ou de transférer cette charge à une commission ou un autre organe. Bien que le titre de Président affirme implicitement son autorité en Irlande du Nord, en réalité, le Président irlandais doit obtenir la permission du gouvernement pour se rendre en Irlande du Nord. Alternativement, le président peut être démis de ses fonctions par les deux chambres de l’Oireachtas, mais uniquement dans le cas d'une « conduite déplacée avérée »[15] Si au moins trente membres de l'une des deux chambres de l'Oireachtas le propose, la demande de mise en accusation est examinée par la chambre requérante. Si une majorité des membres du Sénat et un tiers des membres de l'Assemblée signent une pétition en ce sens, le Président peut refuser de promulguer une loi, après consultation du Conseil d'État, à l'exception des projets de loi visant à modifier la Constitution. Ainsi, il nomme notamment les ambassadeurs et reçoit les lettres de créance des diplomates étrangers. Selon les juristes, la version irlandaise qui fait état du « propre arbitre » du Président implique que celui-ci doit prendre ses décisions seul, sans consultation extérieure, alors que la version anglaise qui parle d'« absolue discrétion » semble permettre au président une liberté de manœuvre, comme celle de consulter l'opposition. Ce projet est né de l'accord de mai 2007 destiné à rétablir les modalités de partage du pouvoir en Irlande du Nord entre les deux principaux partis politiques. De plus, le fait que, sous la direction de McDonald, le Sinn Féin s’est débarrassé de nombre des stigmates li… Dans le cas où elle est approuvée par une majorité des deux-tiers, le président est officiellement mis en accusation. Jusqu'à maintenant, tous les présidents ont effectué cette déclaration en irlandais. À ce jour, aucune de ces deux procédures de révocation du Président n'a pas encore été invoquée. Il ne peut s'opposer à une loi qui a été adoptée par le Dáil et le Sénat, à moins d'exercer son pouvoir de réserve[2]. Enfin, le Président à le pouvoir de grâce[4]. Il se compose des quatre premières mesures suivies par les cinq dernières, sans les paroles[24]. Fait intéressant, l'accréditation fournie aux journalistes couvrant la visite indiquait la visite du « président d'Irlande ». Le gouvernement est tenu, toutefois, de tenir le président informé des questions de politique intérieure et extérieure. Bien qu'il n'existe plus aujourd'hui d'ambiguïté sur sa compétence au sein de la seule République d'Irlande, elle est toutefois considérée par de nombreux nationalistes du Nord comme leur président et ils prennent position pour que le droit de vote aux élections présidentielles soit étendu à l'ensemble de l'île. Le président de l'Irlande (en anglais : President of Ireland ; en irlandais : Uachtarán na hÉireann) est le chef d’État de l'Irlande. L'Irlande contesta, à son tour, la proclamation faite par le Parlement britannique lorsqu'il institua Élisabeth II comme reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, en 1952. Ses bureaux se trouvent installés dans les Parliament Buildings, sur la propriété de Stormont, à Belfast. Ainsi, les autres partis pouvaient éviter de lui présenter un opposant, sans perdre la face. En tant que chef de l'État irlandais, le président reçoit le plus haut niveau de protection du pays. Le président de l'Assemblée nord-irlandaise (Speaker of the Northern Ireland Assembly, en anglais) est le député chargé de présider l'Assemblée nord-irlandaise.Il est élu par les députés au cours d'un vote transcommunautaire et dispose de trois adjoints. Le Royaume-Uni et l'Union européenne ont aplani mardi leurs différences sur l'Irlande du Nord, levant un sujet de dissensions. Retrouvez toutes les infos sur Irlande du Nord : articles, vidéos et analyses de l'actualité par les journalistes et chroniqueurs de l'Opinion Contrairement aux présidents de nombreuses autres républiques, le président d'Irlande ne détient aucun pouvoir exécutif. Quand on fait référence au président, il est de coutume de l'appeler « président » ou « Uachtarán » plutôt que « Monsieur ou Madame le Président» (ou toutes formes similaires). Si ce système était introduit, il serait largement redondant avec le pouvoir de refuser une dissolution du Dáil que détient le président et pourrait donc être retiré de la Constitution. Le gouvernement irlandais a annoncé qu'il pourrait pardonner le déserteur de l'. Il y a plusieurs différences entre l’Irlande et l’Irlande du Nord, et la politique en fait partie. Le parti unioniste démocrate (DUP) d’Irlande du nord, allié des conservateurs à Londres, a perdu deux sièges aux législatives. Le président possède des pouvoirs qu'il peut exercer « à sa discrétion absolue » (chomhairle Féin) d'après la Constitution. Le président d'Irlande n'a pas de vice-président. Un système tout à fait familier donc. Il est élu par les députés au cours d'un vote transcommunautaire et dispose de trois adjoints. Le premier Ministre, Brian Cowen a demandé à la présidente de la République (à l'époque Mary Mac Aleese) de dissoudre l'Assemblée, ce que la présidente a accepté, provoquant des élections législatives anticipées. Ainsi, à l'enterrement d'un enfant mort dans un attentat de l'IRA véritable à Omagh, elle a symboliquement parcouru les allées de l'église main dans la main avec le chef du Parti unioniste d'Ulster et du Premier ministre d'Irlande du Nord, David Trimble. Le poste de président d'Irlande a été créé en 1937 en partie pour remplacer le poste de gouverneur général qui existait entre 1922 et 1937, dans l'État libre d'Irlande. Le président peut cependant exercer certains pouvoirs qu'il peut utiliser à sa discrétion. Le président ne peut assurer ses fonctions que dans le strict respect de la Constitution ou de l'accord du gouvernement. Les lacs et les grottes souterraines de Fermanagh regorgent de mythes et de mystères. Même sans ces considérations, refuser une telle demande reviendrait presque à créer une crise constitutionnelle, car il existe une forte convention constitutionnelle qui veut que le chef de l'État accorde toujours une dissolution parlementaire. Alternativement, de nombreux journalistes ont suggéré qu'une pétition de citoyens, par au moins 10 000 électeurs inscrits, pourrait être une autre méthode pour proposer un candidat à la présidence. Au cours de sa présidence, elle a mis l'accent sur les besoins des pays en développement, en liant l'épisode de la Grande Famine aux problèmes actuels de nutrition, de pauvreté et de politique, afin de créer un partenariat entre les pays développés et les pays en développement. La nouvelle a soulagé l’Irlande, en première ligne du choc qui s’annonce le 31 décembre prochain, quand le Royaume-Uni va sortir du marché unique et de l’union douanière. À l'exception de ces deux cas, le Président ne subit aucune limitation de son pouvoir d'expression. Le président est élu au suffrage universel à bulletin secret par un système de vote alternatif, issu du système de scrutin à vote unique transférable[11]. En raison de la non-tenue d'une élection présidentielle en 2004, de nombreux hommes politiques ont suggéré qu'il devrait être plus facile d'obtenir une nomination à la présidence. Toutefois, avant de pouvoir exercer son pouvoir de réserve, le président doit consulter au préalable le Conseil d'État. Cette élection suppose de renoncer à toute affiliation politique. La résidence du président est protégée en permanence par des gardes armés et est entourée par une barrière de sécurité. Contrairement à Seán O'Kelly en 1952, de Valera fut renommé en 1966 par le Fianna Fáil. Le reste du cabinet est nommé sur proposition du Premier ministre et après l'approbation du Dáil. Il y a quelques jours, elle a reçu un faire-part venu tout droit d’Irlande du Nord pour lui annoncer la naissance d’un petit garçon, le 21 octobre, à la maternité du Royal Hospital de Belfast. La Constitution habilite également le Conseil d'État, statuant à la majorité de ses membres, à « prendre toutes dispositions qui leur sembleraient nécessaire » à l'exercice des fonctions présidentielles dans les cas que la constitution n'aurait pas prévus. La résidence officielle du président est le Palais présidentiel (Áras an Uachtaráin) à Dublin. Ces commentaires ont provoqué l'indignation parmi les hommes politiques unionistes et McAleese s'est excusée par la suite et a reconnu que sa déclaration était déséquilibrée[22]. La dernière modification de cette page a été faite le 27 novembre 2020 à 17:36. L'actuel président, Michael D. Higgins, est en poste depuis le 11 novembre 2011. En outre, le président représente l'État pour les Affaires étrangères, sur les conseils du gouvernement[2]. En conséquence de quoi, le Fine Gael se sentit obligé de présenter un candidat, malgré ses maigres chances. En vertu de la constitution, en prenant ses fonctions, le président doit se soumettre à une déclaration formelle, réalisée en public et en présence de membres des deux chambres de l'Oireachtas, des juges de la Cour suprême et de la Haute Cour, et d'autres personnages publics[13]. Cependant, elle partage une histoire et une culture commune avec le reste de l'Irlande. Controverse sur les prérogatives en Irlande du Nord, Controverse sur l'identité du chef d'État au début de la République, Affaire du vol du train de Sallins. En fait, l'Irlande du Nord comprend 6 des 32 comtés irlandais. La République d’Irlande est une nation souveraine indépendante, c’est-à-dire qu’elle a un président, aujourd’hui Michael D. Higgins et un premier ministre, Leo Varadkar. Le président peut notamment refuser de dissoudre le Dáil Éireann. La charge a été instituée par la Constitution irlandaise de 1937. Il est élu pour sept ans, renouvelable une fois, au suffrage universel direct . Les ministres signent les traités internationaux au nom du président. Le président a alors le droit de refuser une telle demande, auquel cas le Premier ministre doit démissionner immédiatement. Si cette chambre décide à la majorité des deux-tiers que le président est coupable des faits qui lui sont reprochés et que ces faits sont suffisamment graves pour justifier sa destitution, elle peut alors le démettre de ses fonctions[15]. Le Président de l'UEFA Michel Platini a visité l'Irlande du Nord où il a fêté les 125 ans de la Ligue d'Antrim. Le président de l'Irlande (en anglais : President of Ireland ; en irlandais : Uachtarán na hÉireann) est le chef d’État de l'Irlande. Ainsi, l'ancien Tánaiste (vice-Premier ministre), Mary Harney, suggéra que la présentation d'un candidat à la présidence puisse être réalisée par cinq à dix Teachtaí Dála ou sénateurs (au lieu de 20 actuellement). Ce comité a pour but de résoudre un différend entre les deux chambres de l’Oireachtas (Parlement), notamment pour savoir si un projet de loi est, ou non, un projet de loi de finances[10]. L'Irlande du Nord est partie constituante du Royaume-Uni. Si le sortant se représente, le doyen d'âge de l'Assemblée, qui ne doit pas lui-même être candidat, assure l'intérim de la fonction le temps de l'élection. Toutefois, par convention, les présidents évitent de critiquer directement l'action du gouvernement. Pour cette raison, lorsqu'il existe un consensus entre les partis politiques, le président peut être « élu » sans qu'un scrutin n'aie lieu à proprement parler. Au cours de la période allant de 1937 à 1949, il n'était pas clair d'un point de vue juridique si le chef de l'État irlandais était en fait le président d'Irlande ou George VI, le roi d'Irlande. La République dIrlande a un président élu pour sept ans, un premier ministre (Taoiseach, à vos souhaits) et un parlement à deux chambres. Ce pouvoir permettrait au président d'intervenir si, dans des circonstances extraordinaires, les procédures ordinaires de convocation des chambres avaient échoué. Néanmoins, trois personnalités de l'opposition, y compris le chef du Fianna Fáil, Charles Haughey, ont exigé d'être mis en relation avec Hillery. Son rôle de faiseur de roi à Westminster est désormais caduc. Cette implication a été contestée non seulement par le Parti unioniste d'Ulster, mais aussi par le Royaume-Uni qui était l'État internationalement reconnu comme étant souverain en Irlande du Nord. Ce qui a d'ailleurs eu lieu en 2011. Il existe des interprétations différentes de la Constitution qui existe sous deux formes : une en irlandais et l'autre en anglais. Elle a également été invitée à Buckingham Palace par la reine Élisabeth II. Par ailleurs, le président est le commandant suprême des forces de Défense[3], ce qui est assimilable au statut de Commandant en chef. En conséquence, on considère généralement qu'il est inapproprié pour le Président d'être contacté par les dirigeants des partis politiques dans le but de l'influencer pour qu'il (ou elle) utilise son pouvoir discrétionnaire. À l'époque où la durée fut décidée, il y eut de nombreuses critiques qui voulaient mettre en garde contre une dérive dictatoriale de la République, en raison de la longue durée du mandat. Joe Biden et des membres du Congrès des deux partis ont accusé le gouvernement britannique de menacer l'accord du Vendredi saint sur la paix en Irlande du Nord, en compromettant l'accord de retrait du Royaume-Uni de l'UE. C'est le pouvoir de réserve le plus largement utilisé et il a été utilisé par six des huit présidents (les présidents Patrick Hillery et Mary Robinson l'ont utilisé à plusieurs reprises). Jusqu'à la présidence de Mary Robinson, le gouvernement a régulièrement refusé aux présidents successifs toute autorisation de se rendre en Irlande du Nord. En effet, la Constitution de 1937 ne mentionnait pas le roi, mais elle n'affirmait pas davantage que le président était le chef de l'État. Pour bon nombre de spécialistes, représenter un État à l'étranger est considéré comme la principale caractéristique d'un chef d'État. Le président ne peut alors refuser la dissolution que si le Taoiseach a perdu la confiance du Dáil Éireann[2]. Le président est élu au cours de la réunion inaugurale de l'Assemblée, qui suit la tenue d'élections. Le candidat qui recueille la majorité des voix unionistes et nationalistes est déclaré élu et prend la présidence de l'Assemblée. Cependant, il ne s'agit là que d'une consultation et le Président n'est pas tenu d'agir conformément à l'avis du Conseil. Le ministre britannique Michael Gove se rend lundi à Bruxelles pour rencontrer le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic et discuter de la mise en oeuvre du traité de retrait, qu'un projet de loi britannique remet en cause.La frontière entre l'Irlande et l'Irlande du Nord en vidéographie. En particulier, en janvier 1982, le président Hillery a chargé un assistant, le capitaine Anthony Barber, de s'assurer qu'aucun des appels téléphoniques de l'opposition ne lui soit transmis. Il accréditait également les ambassadeurs et recevait les lettres de créance des diplomates étrangers. Après consultation du Conseil d'État et à condition que le texte soit approuvé en bloc par le gouvernement, le Président peut s'adresser ou envoyer un message à l'une ou aux deux chambres de l’Oireachtas. Ces présidents ont également assisté à des fonctions officielles en compagnie de la princesse royale. La dernière modification de cette page a été faite le 6 février 2020 à 19:42. Néanmoins un candidat doit être parrainé soit par un minimum de vingt membres des Oireachtas (le Parlement national), soit par au moins quatre conseils municipaux ou conseils de comté ou alors se présenter personnellement (dans le cas d'un président en exercice ou d'un ancien président n'ayant accompli qu'un seul mandat)[12],[2]. De nombreuses personnes font valoir que Mary Robinson, le septième présidente d'Irlande, a libéralisé un poste qui était auparavant conservateur, au cours de son mandat de 1990-1997. Il est en outre chargé de présider la commission de l'Assemblée, qui assure la gestion administration du corps législatif nord-irlandais, et le comité des affaires parlementaires. Toutefois, la durée des mandats des chefs d'État de ces deux pays n'est plus de sept ans aujourd'hui. Le président est élu par le peuple pour sept ans, sauf en cas de vacance prématurée du pouvoir, auquel cas une élection doit avoir lieu dans les soixante jours[1]. Ce pouvoir a été invoqué à quatre reprises : une fois par le président Éamon de Valera, à deux reprises par la présidente Robinson et une fois par la présidente McAleese, à la veille de l'an 2000. Par ailleurs, après consultation du Conseil d'État et à condition que le texte soit approuvé en bloc par le gouvernement, le président peut s'adresser ou envoyer un message à la Nation. Un vote a ensuite lieu, au cours duquel s'applique le vote transcommunautaire. Par conséquent, entre minuit et l'investiture du lendemain, les devoirs et les fonctions présidentiels sont exercés par la Commission présidentielle. Le texte original de la Constitution de l'Irlande, tel qu'il a été adopté en 1937, mentionne dans les articles 2 et 3, deux entités géopolitiques : un « territoire national » de trente-deux comtés (c'est-à-dire, l'île d'Irlande) et un État de vingt-six comtés connu précédemment sous le nom d'État libre d'Irlande (les articles 2 et 3 ont été modifiés depuis). Cependant, Mary McAleese a été critiquée à d'autres occasions pour certaines de ses interventions, comme celle où elle fait référence à la façon dont les enfants protestants en Irlande du Nord sont poussés à haïr les catholiques, tout comme les enfants allemands ont été encouragés à haïr les Juifs sous le régime nazi, le 27 janvier 2005, à la suite de sa participation à la cérémonie commémorant le soixantième anniversaire de la libération du camp de concentration d'Auschwitz[20],[21]. La résidence officielle du président de l'Irlande est le Áras an Uachtaráin[23], situé dans le Phoenix Park de Dublin. Toutefois, aucune modification ne fut apportée à la Constitution. Ce dont Londres se défend. Le salut au président d'Irlande se fait sur la musique de l'hymne national d'Irlande, Amhrán na bhFiann. Alors que les présidents précédents étaient très précautionneux lorsqu'il s'agissait de faire un discours devant un public (il le soumettait à chaque occasion au Gouvernement), les présidentes Robinson et McAleese se sont davantage servi de leur droit d'expression, sans l'approbation du gouvernement. Dans un signe de réchauffement des relations anglo-irlandaises, elle a été chaleureusement accueillie par la plupart des principaux syndicalistes.