Ils descendent ensuite sur Montauban-de-Bretagne qui est occupée et les Gendarmes, désarmés. Les huit chouans sont forcés de se rendre et sont conduits dans un bateau pour Saint-Malo, ils parviennent néanmoins à s'enfuir grâce à la complicité du capitaine. Des Bretons, par milliers, prennent les armes pour combattre le nouveau régime : la guerre durera jusqu’en 1815. Un premier affrontement sérieux a lieu le 17 mai à Châtillon et Saint-Pierre-des-Échaubrognes où les 1 200 hommes du colonel Prévost sont battus par les 2 000 Vendéens d’Auguste de La Rochejaquelein et de Simon Canuel. Il arrive à proximité de leurs troupes à Saint-Étienne-de-Corcoué. Henri du Boishamon, nommé colonel le 26 mai par le général La Boëssiere, est chargé de prendre le commandement de la division de Médréac. Mais le 18 juin le général impérial Auguste Julien Bigarré entre à Ploërmel où il fait sa jonction avec les hommes du général Rousseau sorti de Vannes. Les Cent Jours dans l'Ouest. Le 11 juin, le débarquement peut s'opérer, les Chouans reçoivent des Britanniques 3 000 fusils, des munitions ainsi qu'un canon et un obusier. Dans un premier temps, peu de monde le rejoint, du moins jusqu'au 16 avril. Vendée militaire chouannerie Guerre de Vendée et Chouannerie de 1815 — Wikipédi . De nombreux fonctionnaires et d'ancien officiers de Napoléon sont poursuivis. La principale victime de la répression de l'Ouest fut le général Travot. Celui-ci est arrêté en janvier 1816 et jugé à Rennes par une commission présidée par Simon Canuel, un ancien général républicain qui avait commis des atrocités dans l'Ouest en 1793 et qui, lors des Cent-Jours, avait rallié les hommes qu'il avait autrefois combattus. Suzannet commande armée du Marais, soit l'Ouest de la Vendée et le sud de la Loire-Inférieure, d’Autichamp commande l’armée d'Anjou, au Sud-Ouest du Maine-et-Loire, Auguste de La Rochejaquelein dirige l’armée du Haut-Poitou au nord des Deux-Sèvres, dans l'Est de la Vendée, Sapinaud prend la direction de l’armée du Centre. En Vendée Sapinaud et Auguste de La Rochejaquelein écrivent à Cholet au général Lamarque qu'ils sont prêts à rallier ses troupes pour combattre les Alliés en cas de démembrement de la France. De son côté, le marquis de Coislin prit le commandement des insurgés de la Loire-Inférieure : il mobilisa 4 000 à 5 000 hommes, particulièrement dans les pays de Redon et Guérande mais ne livra que peu de combats. Le 20 mai, les Impériaux, à court de munitions, se replient sur Angers et Saumur. D'Autichamp en profite et prend Cholet sans coup férir. Le 4 juin, il apprend que le général Estève marche à sa rencontre, et décide donc de gagner Les Mathes où le terrain est plus à l'avantage des Vendéens. Le 2 août, les anciennes troupes impériales se retirent de l'Ouest et l'armée prussienne entre en Anjou, les déclarations pacifiques du général-comte Tauentzien rassurent les Vendéens qui accueillent les Prussiens en libérateurs[21]. Rapidement des bandes se formèrent en Ille-et-Vilaine. Le général Jean Maximilien Lamarque est condamné à l'exil ; il ne revient en France qu'en 1818. BIB ATLAS 19 - Généraux et chefs de la Vendée militaire et de la chouannerie ; suivis de la liste alphabétique des chefs de division, officiers, 1793, 1799, 1815, 1832 / dir. Cependant, le 25 juin, près de Plumelec, les hommes de Sol interceptent une dépêche dans laquelle ils apprennent la défaite de Napoléon le 18 juin, à la bataille de Waterloo. Les officiers prussiens réclament une revanche et demandent un duel opposant 100 Prussiens à 100 Français. Battue, l'armée vendéenne se replie en bon ordre[11]. Batailles. Les Vendéens laissent passer une occasion unique de détruire la division de Travot, mais ils renoncent par manque d’enthousiasme et le général impérial peut ainsi regagner Napoléonville. Le 20 juillet, le Prince de La Trémoille débarque à Saint-Malo qui se rallie au Roi. Edmond Lemière (ouvr. Une partie de l'armée dirigée par Le Mintier tente, mais sans succès, de prendre La Trinité-Porhoët. Les Impériaux envoient alors des propositions de paix mais elles sont rejetées par de Sol. Les généraux vendéens élisent alors Louis de La Rochejaquelein comme généralissime[7]. Dans le Morbihan et les Côtes-du-Nord, ces conventions sont globalement respectées mais ailleurs la bonne entente ne dure pas. C'est une lourde défaite pour les forces vendéennes. Les chefs vendéens se rassemblent alors à La Tessoualle. Cependant alertés, les Fédérés de Lorient attaquent les Chouans des légions d'Auray et de Bignan commandés par Joseph de Cadoudal, Le Thieis et Jean Rohu, qui s'étaient rassemblés à Sainte-Anne-d'Auray au nombre de 800. Campagne du duc d'Angoulême Finalement les 34 officiers vendéens présents passent au vote, 22 se prononcent pour la paix, 12 pour la guerre. Cependant Travot ne se remit jamais véritablement de son emprisonnement, atteint de folie, il meurt le 7 janvier 1836[28]. Ceux-ci se retranchent dans une tour et les Chouans, dépourvus d'artillerie, ne peuvent prendre la ville en totalité. Roger Grand. — L’ouvrage a d’abord paru en fascicules. Dans le Morbihan et les Côtes-du-Nord, ces conventions sont globalement respectées mais ailleurs la bonne entente ne dure pas. La veille des soldats de ce détachement avaient maltraités des habitants de Montauban-de-Bretagne, ce qui provoqua la colère des royalistes. It developed especially after 1793 in the northern area of the Loire, in Brittany principally, Normandy, Maine, and Anjou. Mais rapidement la rumeur se propage que les Alliés ont l'intention de démembrer et de se partager la France, cette nouvelle provoque l'inquiétude et l'indignation des bonapartistes comme des royalistes. Dans un premier temps, peu de monde le rejoint, du moins jusqu'au 16 avril. Bibliographie de la Contre-Révolution dans les Provinces de l'Ouest ou des Guerres de Vendée et de la Chouannerie (1793-1815-1832). La garnison de Montfort-sur-Meu se porte alors sur Montauban-de-Bretagne, mais les Impériaux, arrivés à proximité de la ville, renoncent et s'en retournent. — L’ouvrage a d’abord paru en fascicules. Le 1er juillet il rallie les Cornouaillais de Coroller et tente, avec environ 1 000 hommes, une attaque sur Châteauneuf-du-Faou. Guerres napoléoniennesGuerre de VendéeChouannerie. Dès le début du mois de mai, les premiers troubles éclatent en Vendée militaire, à Pouzauges, Les Épesses et Chantonnay. Le 7 juillet, ils tentent une attaque sur Guérande mais ils sont repoussés. Il soulève les environs de cette ville, ainsi que les pays de Montfort-sur-Meu et Saint-Méen-le-Grand et prend comme seconds Gabillards, Jacques François de Mellon et son frère Joseph. Les autres officiers impériaux ayant servi en Vendée sont également poursuivis. Organisés tardivement, les Chouans de la Loire-Inférieure ne livrent que peu de combats. Puis les Chouans s'emparent de Bécherel sans combattre, quelques armes sont encore saisies. Le 14 mai, 800 Vendéens sous les ordres de Robert s'emparent de Saint-Jean et de Notre-Dame-de-Monts, où 50 gendarmes et douaniers sont désarmés, et surtout des ports de Croix-de-Vie et de Saint-Gilles-sur-Vie. Ces derniers ont néanmoins perdu peu de monde dans ce premier combat, les Chouans ont un mort et deux blessés. Dans la soirée, La Rochejaquelein, inquiet, fait cesser le débarquement et décide de gagner Saint-Jean-de-Monts. Malgré l'attaque, repoussée, d'une centaine de douaniers, 2 000 fusils et un million de cartouches sont débarqués du 14 au 16 mai. Pontbriand organise ses troupes en 8 cohortes et prend comme second le lieutenant-colonel de Chappedelaine. Chouannerie dans le Morbihan et le Finistère, Insurrection royaliste dans le Toulousain, Guerre de Vendée et Chouannerie pendant les Cent-Jours, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guerre_de_Vendée_et_Chouannerie_de_1815&oldid=177838031, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Portail:France au XIXe siècle/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Restauration française 1814-1830/Articles liés, Portail:Bretagne/Articles liés directement, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Victoire militaire des Impériaux, Victoire politique des Royalistes. Zone d'occupation de la France de juin 1815 à novembre 1818. par Pierre Le Gall), Bibliographie de la Contre-Révolution dans les provinces de l’Ouest ou des guerres de la Vendée et de la chouannerie : 1793-1815-1832, Saint-Brieuc et Paris, Éd. Cependant, le 25 juin, près de Plumelec, les hommes de Sol interceptent une dépêche dans laquelle ils apprennent la défaite de Napoléon le 18 juin, à la bataille de Waterloo. Les officiers prussiens réclament une revanche et demandent un duel opposant 100 Prussiens à 100 Français. Le 19 mai, le général Jean-Pierre Travot tente avec 900 hommes de s'emparer du convoi de munitions en route pour le bocage mais il se heurte à l'arrière-garde vendéenne commandée par Nicollon Desabayes qui parvient à résister suffisamment longtemps pour permettre la fuite des chariots[6]. Afin de pacifier la contrée, l’Empereur crée l'armée de la Loire, composée des divisions des généraux Jean-Pierre Travot, Estève et Brayer, et met à sa tête le général Lamarque afin de remplacer Delaborde, tombé malade. N° de réf. Le 6 juillet, 8 officiers de la légion de Dinan réalisent un coup d'éclat en s'emparant du Fort-la-Latte. Un document très recherché pour ses portraits et les nombreux renseignements qu'il fournit sur les chefs militaires des armées de la Vendée et de la Chouannerie ; ouvrage de qualité qui ne peut qu'intéresser tous ceux qui se passionnent pour la grande épopée vendéenne et les chefs qui l'ont conduite. Ceux-ci se retranchent dans une tour et les Chouans, dépourvus d'artillerie, ne peuvent prendre la ville en totalité. La principale victime de la répression de l'Ouest fut le général Travot. Dans l'Ouest, la répression fut cependant assez modérée, rares furent les peines de mort prononcées, aucune ne fut exécutée[26]. Le 22 mars 1815, le colonel Toussaint du Breil de Pontbriand, reçoit du Prince de La Trémoille l'autorisation de lever des troupes dans les Côtes-du-Nord. Mais le 1er juin, La Rochejaquelein rejoint avec 1 300 hommes la flotte des 14 navires britanniques qui peuvent ainsi débarquer les armes et les munitions attendues. Les 12 et 13 juin, Sapinaud décide de marcher avec le gros de l'armée sur la Vendée, une seconde force commandée par Auguste de La Rochejaquelein est envoyée prendre Thouars. De Sol pensait initialement marcher sur Pontivy, mais il décide finalement de prendre Redon. Le 28 mai, le gros de l'armée mené par le général Louis de Sol de Grisolles entre à Plaudren le 28 mai, puis de là gagne Sérent le 29, le 30 mai, les Chouans s'emparent de Ploërmel qui n'oppose qu'une faible résistance. Mais les Chouans ne se laissent pas impressionner et contre-attaquent tandis que les renforts menés par Pontbriand mettent les Impériaux en fuite. Les Chouans apprennent des Britanniques la défaite de Napoléon à Waterloo. Des volontaires affluent de Saint-Malo et Lamballe, les paysans se soulèvent, la commune de Plumaugat se distingue en fournissant 60 hommes à elle seule. Forces en présence; 570 hommes 1 canon: 5 000 hommes: Pertes; 5 à 30 morts 16 blessés 8 à 10 prisonniers: Chouannerie de 1815. Il entama les hostilités le dernier soit le 27 mai 1815. Travot, de son côté, avait fait preuve d'humanité en Vendée ; néanmoins il est condamné à mort à l'issue du jugement, et la peine est confirmée en appel. De son côté, Fouché tente d'ouvrir des négociations avec les Vendéens par l'intermédiaire de Malartic, un ancien chef chouan, et de Flavigny et La Béraudière[9]. La rencontre se produit le 21 juin, les Impériaux au nombre de 1 500 à 3 000 chargent à la baïonnette les Chouans, au nombre de 5 000 à 8 000, retranchés derrière des haies et de fossés. L'affrontement tourne à l'avantage de ces derniers dans cette bataille où se distinguent les écoliers du collège de Vannes. Lamarque dispose de 6 000 hommes, le 17 juin, il apprend que les Vendéens, au nombre de 8 000 et commandés par d'Autichamps, Sapinaud et Suzannet, sont à Rocheservière. De son côté, à Nantes, le général Lamarque s'apprêtait à passer à l'attaque, il délaissa l'Anjou et redéploya ses troupes de manière à frapper la Vendée en premier. Mais les Impériaux sont bien retranchés et repoussent les Chouans, qui se replient sur leurs pays. Du moins, paradoxalement, jusqu'à la paix, le 3 ou le 13 juillet, après le retour de Louis XVIII, un détachement de 120 soldats et marins en route pour Brest et portant cocardes tricolores est attaqué par une centaine de Chouans commandés par du Boishamon à Saint-Jouan-de-l'Isle. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Le 2 juin, à Saint-Gilles, Grobon passe à l'attaque avec 300 hommes, dans l'attente de renforts, il fait retrancher ses troupes dans une chapelle. Le 20 juin, les deux armées se rencontrent sur la lande de Grand-Collet. Quant au clergé s'il inquiéta l'administration impériale par son hostilité envers Napoléon, il ne prêcha pas l'insurrection. La plupart des Vendéens, soldats, nobles, comme officiers, n'ont plus l'enthousiasme de se battre, de plus le clergé n'étant pas persécuté, très peu de prêtres étaient favorables à l'insurrection, une bonne partie soutenait même Napoléon[17]. Lamarque dispose de 6 000 hommes, le 17 juin, il apprend que les Vendéens, au nombre de 8 000 et commandés par d'Autichamps, Sapinaud et Suzannet, sont à Rocheservière. Une partie de l'armée dirigée par Le Mintier tente, mais sans succès, de prendre La Trinité-Porhoët. Cependant les bonapartistes ne réagissent pas et aucun combat ne se déroule sur le territoire de la division. Parallèle à la guerre de Vendée, mais différente d'elle, la chouannerie se développe en ordre dispersé. Néanmoins cet enthousiasme qui semble réconcilier bonapartistes et royalistes ne dure pas, ces derniers reprochent aux anciens soldats impériaux d'avoir conservé la cocarde et le drapeau tricolore. La mort du général en chef diminua grandement le moral des Vendéens et beaucoup commençaient à déserter. Maîtres des campagnes et des petites villes, les Chouans songent un temps attaquer Saint-Brieuc mais renoncent. Par la suite un convoi d'armes est envoyé à la division, qui en fait passer un autre dans les pays de Fougères et Vitré. Par la suite un convoi d'armes est envoyé à la division, qui en fait passer un autre dans les pays de Fougères et Vitré. C'est peu, néanmoins La Rochejaquelein assure qu'un prochain débarquement sera bientôt effectué. Le général Brayer est condamné à mort mais se réfugie à Buenos Aires. De nombreux fonctionnaires et d'ancien officiers de Napoléon sont poursuivis. Il s'empare de Carhaix sans combattre le 30 juin. Cependant, Pontbriand et une dizaine de cavaliers s'aventurent à proximité de la ville où ils sont acclamés par la population, ils tentent alors d'entrer dans Saint-Brieuc où là encore la population les acclame, les Fédérés n'osent pas intervenir et la ville tombe au pouvoir des Royalistes. En Vendée, à la suite de l'échec de Napoléonville, Louis de La Rochejaquelein décide de retourner à Saint-Gilles-sur-Vie afin d'accueillir un nouveau débarquement d'armes. Les huit chouans sont forcés de se rendre et sont conduits dans un bateau pour Saint-Malo, ils parviennent néanmoins à s'enfuir grâce à la complicité du capitaine. Pendant ce temps, le 19 juin, le général Auguste de La Rochejaquelein, secondé par Duperrat, et à la tête de 3 000 hommes entrait dans Thouars qui s'était rendue sans combattre. Le 15 mai, 25 000 paysans se soulèvent en Vendée militaire, Bressuire est prise. Le 22 mai, les douaniers et les gendarmes d'Étel à La Trinité-sur-Mer sont désarmés par les volontaires royaux. D'Ambrugeac rassembla quelques hommes dans la Sarthe. Alertés, les Impériaux au nombre de 570 et commandés par le général Rousseau sortent de Vannes et attaquent les Chouans à Muzillac. Dans de telles situations l'ordre ne pouvait être assuré, néanmoins contrairement à d'autres départements, on ne relève pas de vague d'assassinats et l'Ouest ne connaît pas alors de véritable Terreur blanche[19]. La bataille s'engage, elle tourne à l'avantage des Impériaux, La Rochejaquelein est tué lors du combat. du vendeur 9547. Plusieurs doivent crier « vive le Roi » et retirer leurs cocardes, puis ils sont relâchés. Un premier affrontement sérieux a lieu le 17 mai à Châtillon et Saint-Pierre-des-Échaubrognes où les 1 200 hommes du colonel Prévost sont battus par les 2 000 Vendéens d’Auguste de La Rochejaquelein et de Simon Canuel. Cependant, celle-ci reprend en 1815, avant de s’achever complétement en 1832. Les généraux vendéens sont divisés, Auguste de La Rochejaquelein est opposé à la paix, en revanche Charles d'Autichamp y est favorable. Malgré quelques tensions avec les fédérés, la ville laisse entrer le prince, Pontbriand et une partie de ses hommes et le combat est évité[4]. Une compagnie d'élite de 126 officiers est formée dont trois colonels : Plouër, Busnel et Sévère de La Bourdonnaye. Contrairement au sud de la France, la Terreur blanche ne fut pas très virulente dans l'Ouest, il n'y eut pas de vague d'assassinats contre les partisans de Napoléon[26]. Le 20 juillet, le Prince de La Trémoille débarque à Saint-Malo qui se rallie au Roi. Il y reste deux ans avant d'être gracié en 1818 à la demande du neveu du roi, le duc d’Angoulême. Mais les Impériaux sont bien retranchés et repoussent les Chouans, qui se replient sur leurs pays. À la suite de la chute définitive du Premier Empire, la France allait être occupée par 1 200 000 soldats de la coalition : Russes, Prussiens, Autrichiens et Britanniques. Ce modèle est destiné à être utilisé dans l’{{Infobox Conflit militaire}} avec la syntaxe suivante : batailles = {{Guerre de Vendée et Chouannerie de 1815}} Le modèle s’utilise sans paramètres.